Chirurgie de réduction mammaire

Introduction

De nombreuses patientes se plaignent de seins trop gros, trop lourds, pénalisant le caractère longiligne de leur silhouette,d’aspect tombants et relâchés – ptôse mammaire- à l’origine :

  • De douleurs des épaules,
  • Douleur de la nuque et du dos
  • De déformations progressive en dos vouté
  • De douleur psychologiques de ne pas sentir « bien dans ses seins »

Ces femmes souffrent dans leur quotidien d’hypertrophie mammaire, la réduction mammaire bien gérée est un soulagement quasi immédiat. D’autant plus que la réduction mammaire dans certaine condition est une intervention dont la récupération est rapide, 2-3 jours, et aux risques maîtrisés.

EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 9

Chez ma patiente, j’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction, avec lifting des seins. Les cicatrices sont en T inversés, donc étendues dans le sillon sous-mammaire. J’ai par ailleurs réalisé une plastie abdominale.

Le résultat est à 18 mois de son intervention chirurgicale, les cicatrices ont leur aspect définitif.

Chez ma patiente, j’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction, avec lifting des seins. Les cicatrices sont en T inversés, donc étendues dans le sillon sous-mammaire. J’ai par ailleurs réalisé une plastie abdominale.

Le résultat est à 18 mois de son intervention chirurgicale, les cicatrices ont leur aspect définitif.

Chez ma patiente, j’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction, avec lifting des seins. Les cicatrices sont en T inversés, donc étendues dans le sillon sous-mammaire. J’ai par ailleurs réalisé une plastie abdominale.

Le résultat est à 18 mois de son intervention chirurgicale, les cicatrices ont leur aspect définitif.

EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 9

Ma patiente a déjà bénéficié d’une plastie mammaire de réduction il y a 10 ans, et pourtant sa poitrine a continué a pousser. J’ai donc refait une plastie mammaire de réduction, enlevant 420 gr de chaque côté.

Nous sommes à 14 mois de son intervention, les cicatrices sont presque définitives.

Ma patiente a déjà bénéficié d’une plastie mammaire de réduction il y a 10 ans, et pourtant sa poitrine a continué a pousser. J’ai donc refait une plastie mammaire de réduction, enlevant 420 gr de chaque côté.

Nous sommes à 14 mois de son intervention, les cicatrices sont presque définitives.

Ma patiente a déjà bénéficié d’une plastie mammaire de réduction il y a 10 ans, et pourtant sa poitrine a continué a pousser. J’ai donc refait une plastie mammaire de réduction, enlevant 420 gr de chaque côté.

Nous sommes à 14 mois de son intervention, les cicatrices sont presque définitives.

EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 9

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire associée à une ptôse mammaire très importante. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, avec cicatrices en T inversé et enlevé 450gr/ coté.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et il persiste un léger relâchement quasi inévitable en rapport avec la qualité laxe des tissus de ma patiente.

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire associée à une ptôse mammaire très importante. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, avec cicatrices en T inversé et enlevé 450gr/ coté.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et il persiste un léger relâchement quasi inévitable en rapport avec la qualité laxe des tissus de ma patiente.

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire associée à une ptôse mammaire très importante. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, avec cicatrices en T inversé et enlevé 450gr/ coté.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et il persiste un léger relâchement quasi inévitable en rapport avec la qualité laxe des tissus de ma patiente.

EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 9

Ma patiente lors de la consultation souhaite diminuer de manière significative le volume de sa poitrine, elle vise un bon bonnet B, mais pas plus. J’ai réalisé une plastie mammaire dé réduction, assez agressive, mais nuancée.

Mais le risque des patientes qui souhaitent un volume modéré est :

  • Qu’elles le regrettent
  • Et que les seins soient trop plats lorsqu’ils sont large comme chez ma patiente.

Nous sommes à 15 mois de son intervention, les cicatrices von très peu se modifier et sont presque définitives.

Ma patiente lors de la consultation souhaite diminuer de manière significative le volume de sa poitrine, elle vise un bon bonnet B, mais pas plus. J’ai réalisé une plastie mammaire dé réduction, assez agressive, mais nuancée.

Mais le risque des patientes qui souhaitent un volume modéré est :

  • Qu’elles le regrettent
  • Et que les seins soient trop plats lorsqu’ils sont large comme chez ma patiente.

Nous sommes à 15 mois de son intervention, les cicatrices von très peu se modifier et sont presque définitives.

Ma patiente lors de la consultation souhaite diminuer de manière significative le volume de sa poitrine, elle vise un bon bonnet B, mais pas plus. J’ai réalisé une plastie mammaire dé réduction, assez agressive, mais nuancée.

Mais le risque des patientes qui souhaitent un volume modéré est :

  • Qu’elles le regrettent
  • Et que les seins soient trop plats lorsqu’ils sont large comme chez ma patiente.

Nous sommes à 15 mois de son intervention, les cicatrices von très peu se modifier et sont presque définitives.

EXEMPLE CAS PATIENT 5 SUR 9

Ma jeune patiente se présentait avec une hypertrophie mammaire importante occasionnant, malgré son jeune âge, des douleurs dorsales hautes. J’ai pratiqué une plastie mammaire à cicatrice verticale seule, donc sans cicatrice dans le sillon sous mammaire.

Nous sommes à 20 mois de son intervention, les cicatrices ont un aspect définitif.

Ma jeune patiente se présentait avec une hypertrophie mammaire importante occasionnant, malgré son jeune âge, des douleurs dorsales hautes. J’ai pratiqué une plastie mammaire à cicatrice verticale seule, donc sans cicatrice dans le sillon sous mammaire.

Nous sommes à 20 mois de son intervention, les cicatrices ont un aspect définitif.

Ma jeune patiente se présentait avec une hypertrophie mammaire importante occasionnant, malgré son jeune âge, des douleurs dorsales hautes. J’ai pratiqué une plastie mammaire à cicatrice verticale seule, donc sans cicatrice dans le sillon sous mammaire.

Nous sommes à 20 mois de son intervention, les cicatrices ont un aspect définitif.

EXEMPLE CAS PATIENT 6 SUR 9

Ma patiente lors de sa consultation, se présentait avec une franche hypertrophie mammaire et ptôse mammaire accentuée. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, en T inversé, faut de pouvoir faire une cicatrice verticale unique, car la peau de ma patiente était bien peu élastique. J’ai simultanément réalisé une plastie abdominale.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et restent bien discrètes.

Ma patiente lors de sa consultation, se présentait avec une franche hypertrophie mammaire et ptôse mammaire accentuée. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, en T inversé, faut de pouvoir faire une cicatrice verticale unique, car la peau de ma patiente était bien peu élastique. J’ai simultanément réalisé une plastie abdominale.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et restent bien discrètes.

Ma patiente lors de sa consultation, se présentait avec une franche hypertrophie mammaire et ptôse mammaire accentuée. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, en T inversé, faut de pouvoir faire une cicatrice verticale unique, car la peau de ma patiente était bien peu élastique. J’ai simultanément réalisé une plastie abdominale.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et restent bien discrètes.

EXEMPLE CAS PATIENT 7 SUR 9

J’ai réalisé chez ma patiente venue d’Afrique, une plastie mammaire de réduction, avec un lifting mammaire à cicatrice verticale pure, donc sans cicatrice dans le sillon sous-mammaire. Effectivement ma patiente présentait une peau épaisse et de bonne élasticité. Par ailleurs dans le même temps chirurgicale, j’ai réalisé une plastie abdominale.

J’ai réalisé chez ma patiente venue d’Afrique, une plastie mammaire de réduction, avec un lifting mammaire à cicatrice verticale pure, donc sans cicatrice dans le sillon sous-mammaire. Effectivement ma patiente présentait une peau épaisse et de bonne élasticité. Par ailleurs dans le même temps chirurgicale, j’ai réalisé une plastie abdominale.

J’ai réalisé chez ma patiente venue d’Afrique, une plastie mammaire de réduction, avec un lifting mammaire à cicatrice verticale pure, donc sans cicatrice dans le sillon sous-mammaire. Effectivement ma patiente présentait une peau épaisse et de bonne élasticité. Par ailleurs dans le même temps chirurgicale, j’ai réalisé une plastie abdominale.

EXEMPLE CAS PATIENT 8 SUR 9

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire et ptôse mammaire réelle. Par ailleurs, elle se plaignait du relâchement de son ventre. J’ai pratiqué :

  • Une plastie mammaire de réduction
  • Une plastie abdominale supérieure de remise en tension de la peau dans le sillon sous mammaire.

Le résultat est à 24 mois, les cicatrices sont dorénavant définitives.

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire et ptôse mammaire réelle. Par ailleurs, elle se plaignait du relâchement de son ventre. J’ai pratiqué :

  • Une plastie mammaire de réduction
  • Une plastie abdominale supérieure de remise en tension de la peau dans le sillon sous mammaire.

Le résultat est à 24 mois, les cicatrices sont dorénavant définitives.

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire et ptôse mammaire réelle. Par ailleurs, elle se plaignait du relâchement de son ventre. J’ai pratiqué :

  • Une plastie mammaire de réduction
  • Une plastie abdominale supérieure de remise en tension de la peau dans le sillon sous mammaire.

Le résultat est à 24 mois, les cicatrices sont dorénavant définitives.

EXEMPLE CAS PATIENT 9 SUR 9

Chez ma patiente qui se présentait avec des seins relâchés dans les suites de 2 gestation et allaitement, j’ai réalisé une cure de ptôse mammaire avec cicatrices en T inversé.

Le résultat est à 14 mois de son intervention.

Chez ma patiente qui se présentait avec des seins relâchés dans les suites de 2 gestation et allaitement, j’ai réalisé une cure de ptôse mammaire avec cicatrices en T inversé.

Le résultat est à 14 mois de son intervention.

Chez ma patiente qui se présentait avec des seins relâchés dans les suites de 2 gestation et allaitement, j’ai réalisé une cure de ptôse mammaire avec cicatrices en T inversé.

Le résultat est à 14 mois de son intervention.

Je vais dans cet article développer non seulement les bases essentielles de la plastie mammaire de réduction mais aussi les nombreux éléments techniques et de prises en charges qui élaborés depuis 20 ans font ma singularité au service de mes patientes et du résultat.

Je suis reconnaissant pour la confiance que m’accordent mes nombreuses patientes, qu’elles soient dans la fleur de l’âge avec leur souhait de rester glamour, ou plus jeunes, chez qui je ressens une telle obligation de résultat, pesant, que de mon acte chirurgical dépend l’épanouissement de la fierté d’une toute jeune femme d’avoir des seins qui lui plaisent.

Les causes et conséquences qui orientent vers la réduction mammaire

Il existe différentes causes et conséquences qui poussent les femmes à se tourner vers la réduction mammaire.

Les causes des hypertrophies mammaires sont classiques

 

À l’adolescence

Une croissance spontanée trop importante, dès l’âge de 15/16 ans. En effet, de nombreuses jeunes filles ont une hypertrophie mammaire génétique et familiale. Les répercussions sont souvent embarrassantes sur l’intégration sociale et scolaire de ces jeunes filles qui ont une tendance à prendre du poids et rentrent dans un cercle vicieux… « surpoids-Hypertrophie des seins ».

À mon sens, il faut les opérer tôt, 16-17 ans, en dépit du surpoids qu’il est complètement illusoire de vouloir corriger avant l’intervention. Cette situation est régulièrement mal évaluée par l’entourage, et pénalise l’entrée dans la vie de ces jeunes filles, puis jeunes femmes qui ne se sentent pas bien dans leur corps… donc pas bien dans leur vie…alors que tout se joue LÀ, car la pression scolaire sur les jeunes est de plus en plus importante, et encore plus depuis la création de « ParcourSup », et il est si facile de lâcher.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma jeune patiente, d’à peine 18 ans, se présentait avec une hypertrophie mammaire importante occasionnant, malgré son jeune âge, des douleurs dorsales hautes. J’ai pratiqué une plastie mammaire à cicatrice verticale seule, donc sans cicatrice dans le sillon sous mammaire.

Nous sommes à 20 mois de son intervention, les cicatrices ont un aspect définitif, elle n’a absolument plus mal au dos.

Après les grossesses et allaitements

La situation ne s’améliore pas…Si beaucoup de femmes perdent du volume des seins, d’autres en gagnent, parfois à l’occasion d’une prise de poids. Ces femmes ont du mal à retrouver le « self esteem » de « l’avant », d’autant plus que la vie avec ou sans les kids est souvent tellement différente, autant enrichissante et épanouissante de fierté, que pourvoyeuse de stress et manque crucial de temps pour s’occuper de soi et de son couple dans toute l’étendue des choses…

Avec le temps

Souvent de manière familiale, certaines femmes voient leurs seins augmenter de volume à partir de 40 ans, et parfois cela peut ne pas s’arrêter. Il m’est arrivé de nombreuses fois de réopérer des patientes à 55 ans, alors qu’à 40 ans je les avant déjà opéré.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma patiente lorsqu’elle se présente à ma consultation, se plaint de seins relâchés par les gestations et allaitements. Ses aréoles sont très grandes. J’ai réalisé une cure de ptôse mammaires avec cicatrices verticales pures, sans cicatrices dans les sillons sous-mammaire. J’ai été, techniquement, obligé de grader une certaine taille d’aréoles, cela n’a pas dérangé ma patiente.

Nous sommes à 13 mois de son intervention.

Question gros plan sur les cicatrices, mes photos ne sont pas d’assez bonne qualité… désolé.

 

Il y a 10 ans, j’avais déjà opéré ma patiente d’une plastie mammaire de réduction et pourtant sa poitrine a continué à se développer. J’ai donc de nouveau réalisé une plastie mammaire de réduction, enlevant 420 gr de chaque côté.

Nous sommes à 14 mois de son intervention les cicatrices sont presque définitives.

Elles présentent des seins fermes, dit « mastosiques », une évolution fibro-kystique familiale, leurs mamans ont ou avaient le même problème.

Les conséquences de l’Hypertrophie mammaire

Ces jeunes filles, jeunes femmes, femmes souffrent dans leur quotidien d’hypertrophie mammaire occasionnant des douleurs :

  • Du dos, qui se voute progressivement.
  • De la nuque, qui si elles sont négligées exposent à de l’arthrose précoce.
  • Des épaules, avec le fameux signe de l’épaulette, encoche sur le passage de la bretelle du soutien-gorge.

EXEMPLE CAS PATIENT

Traitement d’une hypertrophie mammaire chez ma patiente, par une plastie mammaire de réduction. Ma patiente présente, un signe de « l’épaulette », une déformation du sommet des épaules, en encoche sur le trajet du passage de la bretelle du soutien gorge.

Nous sommes à 9 mois de l’intervention, les cicatrices vont encore évoluer pendant quelques mois avant de se stabiliser.

Mais également :

  • Des gènes lors des activités sportives lors de la course à pied et athlétisme, l’équitation, l’escalade…
  • Des gènes vestimentaires car les seins vraiment trop forts tassent la silhouette, et rend difficile le port de vêtements ajustés.
  • Des répercussions psychologiques, avec une tendance à la dévalorisation de l’estime de soi, un effritement de son capital confiance dans sa vie de femme, son travail, son quotidien.

Les Bénéfices d’une plastie mammaire de réduction

Toutes ces conséquences, gènes, complexes disparaissent en quelques jours après un intervention bien menées.

  • Les douleurs disparaissent,
  • Les femmes retrouvent le plaisir de refaire du sport, perdent souvent du poids.
  • Les femmes reprennent confiance, prennent soin d’elles, redoublent d’énergie.

Le corps et l’esprit refusionnent pour une vie plus épanouie malgré la pression du quotidien.

Les objectifs de la Réduction Mammaire

 

  • Façonner de très beaux seins ; à la forme bien ronde, remontés et symétriques.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma patiente présentait une hypertrophie mammaire associée à une ptôse mammaire très importante. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, avec cicatrices en T inversé et enlevé 450gr/ coté.

Nous sommes à 24 mois de son intervention, les cicatrices ne vont plus évoluer, et il persiste un léger relâchement quasi inévitable en rapport avec la qualité laxe des tissus de ma patiente.

  • Façonner des aréoles rondes, symétriques, à la taille mieux adaptée au nouveau volume des seins et aux cicatrices à la limite de la visibilité.

EXEMPLE CAS PATIENT

Chez ma patiente, j’ai réalisé une plastie mammaire de réduction et cure de ptôse avec cicatrice en T inversé. 

Nous sommes à 14 mois après son intervention.

  • Adapter le volumes des seins à la silhouette de ma patiente età son futur objectif de poids.
  • Façonner des cicatrices irréprochables, tellement discrètes qu’elles en deviennent belles. Pour que mes patientes ne subissent pas l’appréhension de montrer leurs seins. Pour que mes patientes le matin en se levant soient fières de regarder leurs seins dans leur miroir. Pour que mon passage s’estompe et disparaissent de leur vie et conscient.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma patiente se présentait avec une poitrine basse située sur le thorax et tombante. Elle souhaitait une diminution modérée. J’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction, en T inversé, faute d’être en situation de faire une seule cicatrice verticale car la peau de ma patiente avait perdu son élasticité d’antan.

Nous sommes à 7 mois de son intervention, les cicatrices vont continuer de s’estomper pendant bien 7-8 mois de plus.

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PRINCIPE et TECHNIQUES

Cette intervention est une vraie intervention de chirurgie plastique. Elle requiert savoir-faire et expérience, mais aussi détermination afin d’aller au bout de mon objectif pour votre intervention :

  • Trouver la bonne stratégie et vous garantir de beaux seins, qui ne tombent pas, soient adaptés à votre silhouette. Des seins stables dans le temps.

Mais pas que… !

  • Faire de mon mieux pour que les seins soient symétriques concernant leur forme, leur galbe, leur volume alors qu’ils ne l’étaient peut-être pas avant l’intervention…

EXEMPLE CAS PATIENT

Chez ma patiente, j’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction, avec lifting des seins. Les cicatrices sont en T inversés, donc étendues dans le sillon sous-mammaire. J’ai par ailleurs réalisé une plastie abdominale.

Le résultat est à 18 mois de son intervention chirurgicale, les cicatrices ont leur aspect définitif.

Mais pas que.. !

  • Faire que les aréoles soient bien rondes, de même taille l’une et l’autre, à la même hauteur l’une et l’autre. Aux cicatrices à la limites de la visibilité.

EXEMPLE CAS PATIENT

J’ai réalisé chez ma patiente venue d’Afrique, une plastie mammaire de réduction, avec un lifting mammaire à cicatrice verticale pure, donc sans cicatrice dans le sillon sous-mammaire. Effectivement ma patiente présentait une peau épaisse et de bonne élasticité.

Par ailleurs dans le même temps chirurgicale, j’ai réalisé une plastie abdominale.

Mais pas que.. !

  • Que les cicatrices soient irréprochables, belles, fines, plates. Laisser le moins de trace possible d’une intervention en gérant au mieux les cicatrices afin qu’elles ne soient en rien un préjudice esthétique.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma jeune patiente se présentait avec une hypertrophie mammaire sérieuse occasionnant, malgré son jeune âge, de sévères douleurs dorsales hautes. J’ai pratiqué une plastie mammaire sans cicatrice dans le sillon sous mammaire, à cicatrice verticale seule.

Nous sommes à 20 mois de son intervention, les cicatrices ont un aspect définitif.

Un peu d’histoire :

Les premières techniques de réduction mammaire ont été décrites par le Pr Biesenberger, il y a un siècle, puis revisitées à de nombreuses reprises, chacun apportant sa touche personnelle. Le Pr Ivo Pitanguy, Brésilien, a apporté une importante contribution à simplifier et rendre reproductible cette intervention sur les seins.

Une Chirurgienne, Belge, Pr Madeleine Lejour fut une des pionnières à s’intéresser et développer des techniques de cicatrice à longueur limitée exclusivement verticale.

J’utilise au cas par cas un dérivé de ces 2 dernières techniques, modifiées d’un élément majeur qui concerne :

  • La sécurité de la viabilité des aréoles
  • La sensibilité de l’aréoles
  • D’une proportion plus importante de patientes qui pourront allaiter malgré l’intervention.

LE PRINCIPE de la réduction mammaire pour traitement des Hypertrophies Mammaires

Le principe d’une réduction est de remonter les aréoles et le volume des seins, d’adapter le volume de la poitrine en fonction de la volonté de la patiente, d’obtenir une symétrie de volume et de laisser le moins de traces possibles.

 

Remonter les aréoles et le volume des seins

EXEMPLE CAS PATIENT

Ici une succession de  schémas du déroulement d’une opération de plastie mammaire. Lorsqu’il s’agit d’une plastie mammaire de réduction, le surplus de glande mammaire est enlevé comme sur le dessin 3 et 4.

Le résultat sur le dessin 5 est à 18 mois après l’intervention, et les cicatrices sont maintenant stables et discrètes.

Ici une succession de  schémas du déroulement d’une opération de plastie mammaire. Lorsqu’il s’agit d’une plastie mammaire de réduction, le surplus de glande mammaire est enlevé comme sur le dessin 3 et 4.

Le résultat sur le dessin 5 est à 18 mois après l’intervention, et les cicatrices sont maintenant stables et discrètes.

Les seins qui tombent ne sont pas vraiment considérés, à tort ou à raison, comme très glamour.

Probablement car ils induisent une notion d’âge, du temps qui passe et laisse ses traces. L’idéal théorique de la position de l’aréole est quelques centimètre (4/6 cm selon la taille de la patient) au-dessus du sillon sous mammaire.

EXEMPLE CAS PATIENT

La distance théorique entre les lignes horizontales passant par le mamelon et le sillon sous mammaires est située entre 5 et 6 cm.

Plus haut l’aréole semble décentrée par rapport au volume du seins et de plus a une tendance à sortir du soutien-gorge, ce qui est vécu comme très agaçant par les patientes. Plus bas, les seins semblent plus tristes. En effet, chez ma patiente choisie pour illustrer cette information :

  • malgré un certain degré de relâchement,
  • fréquent car la tenue de peau des seins des patientes aux séquelles d’hypertrophies mammaires,
  • le maintien de cette distance de 5-6 cm donne une impression de sein glamour.

Ainsi, on a l’impression que les seins ne tombent pas. La direction de regard des aréoles est tout autant important. Un caractère juvénile et gai des seins, s’établit lorsque le mammelon, « têton », pointe entre 20 et 30 degrés au-dessus de l’horizontale.

EXEMPLE CAS PATIENT

La direction ou axe vers lesquels pointent les mamelons jouent un rôle important dans le ressenti de gaité ou tristesse des seins.

La projection des seins et aréoles, est le point culminant du sein et doit idéalement être au sommet d’une demi-sphère théorique, encrée sur le sillon sous mammaire, passant par l’aréole, puis se perdant plus verticalement vers les clavicules.

Ainsi, le rayon d’un cercle ou d’une sphère semble idéale. En dessous de cette longueur d’un rayon de sphère, on parle de seins plats. Au-dessus, de seins qui pointe.

Aussi de face la forme du sein doit au mieux représenter une sphère, tout du moins sur sa partie basse, dont le sillon sous mammaire, en cercle, trace la périphérie, la limite inférieure :

  • Si le sillon sous-mammaire est trop évasé, on parle de seins à l’allure carrée.
  • Si le sillon sous mammaire est trop étroit, on parle de seins en triangle.

Ces deux dernières situations ne sont pas vraiment des succès chirurgicaux.

EXEMPLE CAS PATIENT

De face, la forme du segment inférieur des seins, au mieux, doit être bien ronde, sans rupture de continuité sur cette belle ligne que représente le sillon sous mammaire.

Adapter le volume au souhait de mes patientes

Lors de la consultation, un instant et consacré à préciser le souhait d’un volume résiduel des seins après intervention. La majeure partie des patientes souhaitent une ambiance de bonnet C

Des nuances sont apportées si ma patiente envisage de perdre du poids après l’intervention, alors je laisse volontairement un volume plus important.

EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 2

Ma patiente se présentait dans une extrêmement rare situation. Au-delà d’une poitrine que l’on qualifie de « gigantomastie », elle était en surpoids, et aucun chirurgien ou centre chirurgicaux ne souhaiter l’opérer. Cependant, l’énorme poids de sa poitrine la faisait souffrir de son dos et entravait autant sa vie perso que  professionnelle. Mes anesthésistes ont accepté, dans des conditions de surveillance particulière que je l’opère. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction, type Thorek, avec greffe des aréoles, qui sont durant la procédure complètement séparée des seins. Par ailleurs, j’ai simultanément traité des excès graisseux à proximité des aisselles. 2800gr de seins sont été enlevé/coté… 5600 gr en tout.

Nous sommes à 8 mois après son intervention. Je ne l’ai pas revu après, elle venait des confins du Sud-Ouest de la France.

EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 2

Chez ma patiente, dont on peut dire qu’elle présente une tendance à la »gigantomastie », soit une hypertrophie mammaire très prononcée et invalidante, j’ai réalisé une plastie mammaire de réduction :

  • Sa silhouette s’en trouve allégée
  • Ma patiente se mobilise mieux et me dit avoir repris une activité sportive

À noter que nous sommes à 9 mois de son intervention, je ne l’ai revu depuis car elle habite loin, et les cicatrices ont dû depuis s’estomper suffisamment pour devenir bien plus discrètes.

Symétriser le volume des seins

Dans le but de laisser le même volume de sein de chacun des coté, durant l’intervention chirurgicale, il est habituel d’enlever plus de sein d’un côté que de l’autre. De mon analyse de 20 ans d’expérience professionnelle, 90% de mes patientes vues en consultation présente une asymétrie des seins, qu’elle soit minime ou importante. Parmi ces 90% de patientes, seulement 1 sur 4 avait cette notion d’asymétrie.

Ainsi, les asymétries sont largement majoritaires, mais ne sautent pas aux yeux dans la vie bougée. Ce n’est que lorsqu’on prend des photos que les chose apparaissent, et combien de patientes, face à la photo de leur buste, se sont exclamée » Oh la la !!, ils sont complètement différents !! »

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma patiente lorsqu’elle me consulte se présente avec :

  • Une hypertrophie mammaire majeure
  • Une asymétrie marquée Droite/Gauche en termes de volume et largeur des seins
  • Une synmastie… c’est à dire que le sein droit et gauche sont en continuité en avant de la région sternale

J’ai pratiqué une plastie mammaire de Réduction, enlevant :

  • A gauche : 950 gr
  • A droite 470 gr

En essayant d’anticiper sur la plus symétrique des évolutions. Une telle disparité sein droit/sein gauche correspond à opérer 2 patientes différentes, car :

  • la peau droite/gauche n’est pas la même,
  • La qualité de la glande droite/gauche n’est pas la même
  • Ainsi les évolutions des seins seront différente si on fait le même travail à droite et à gauche.
  • Bloc opératoire il est nécessaire d’extrapoler selon sa propre expérience entre ce que l’on estime de l’évolution du sein droit et ce que l’on estime de l’évolution du sein gauche… toute une équation assez complexe.

Nous sommes à 9 mois après l’intervention, les seins ne vont plus trop bouger, les cicatrices vont continuer d’évoluer pendant 7-8 mois supplémentaire.

Laisser le moins de traces possible de l’intervention

  • Travailler à façonner de beaux seins stables durant leur évolution : le plus naturel possible respectant au mieux les descriptions citées au paragraphe précédent.
  • Maîtriser la qualité des cicatrices, mais pas que… :

EXEMPLE CAS PATIENT

En 20 ans de détermination et d‘expérience pour faire des cicatrices les plus belles et fines possible, j’assume d’écrire que la différence de qualité de cicatrisation d’une patiente à l’autre est minime. De l’application du chirurgien dépend 95% de la qualité du résultat des cicatrices. Sur ces photos, quelques exemples de cicatrices de patientes de toute origines, toute carnation.

Réaliser des cicatrices sublimes, mais des seins « pas trop beaux » … il reste, au bout du compte, des « seins pas trop beaux » … c’est un échec !!

Réaliser des seins sublimes avec des cicatrices « pas trop belles » … il reste des seins sublimes, mais quel dommage !! Le praticien n’est pas allé jusqu’au bout, la patiente va bloquer sur ses cicatrices, et ne sera pas complètement fière de son buste.

Alors, il faut tenir toute la longueur de l’intervention et savoir sacrifier le temps nécessaire, bien plus d’1/3, voir plus, du temps opératoire à s’appliquer sur cette basse besogne qu’est la « suture cutanée », ce moment fastidieux de dentellière qu’est la fermeture de la peau.

La suture de la peau commence par la réalisation d’un sein avec une excellente architecture, qui une fois bâtie ne laisse aucune tension, aucune contrainte, aucune friction, aucune fronce sur la peau des futures cicatrices.

  • Puis la réalisation de la cicatrice, elle-même, avec très peu de points de soutien profonds, au fil de suture très fin 5/0, des fils plus gros laissent des marques, des traces.

EXEMPLE CAS PATIENT

Au bloc, en fin d’intervention, je réalise les sutures cutanées  avec minutie et détermination, car la qualité de la cicatrice définitive en dépend directement.

Et un Surjet intradermique irréprochable, toujours au fil très fin 5/0. Aucun point profond sur l’aréole, un seul et unique surjet intradermique au fil 5/0. Le pansement « scellant », au stéristrips collés et bande de cellophane, fait partie intégrante de la cicatrice. Il est réalisé sous haute asepsie au bloc opératoire,

EXEMPLE CAS PATIENT

Nous sommes en fin d’intervention, ma patiente est encore endormie. Je viens de finir le « pansement scellant » que ma patiente va garder sans avoir à le changer pendant 4-5 semaines.

sur une cicatrice rendue imperméable par une suture sans faille. Bien réalisé, il colle pendant 4 à 6 semaines,

EXEMPLE CAS PATIENT

Les « pansements scellant » sont posés stérilement au bloc opératoire, en fin d’intervention. Ils restent propres, et ici nous sommes à 8 jours de l’intervention. Mes patientes les gardent en moyenne 1 mois durant lequel :

  • Elles peuvent prendre des douches
  • Elles ont moins mal, car les tensions sur les cicatrices sont prises en charge par les pansements.
  • Peuvent ne pas porter de soutien-gorge
  • N’ont pas besoin de soins infirmiers
  • Peuvent m’adresser des photos pour que je surveille la bonne qualité de la cicatrisation.

au terme desquelles, je l’enlève en consultation, et vous découvrez une cicatrice impeccable.

Aucun pansement n’est changé ou refait pendant ces 4 à 6 semaines. Le cellophane colle intimement à la peau, et vous permet de prendre des douches le soir de l’intervention. Le cellophane est assez rigide pour soutenir vos seins, et vous ne porterez aucun soutien-gorge pendant 4-6 semaines.

Il s’agit là d’un soutien-gorge fait sur mesure parfaitement ajusté à vos seins. Ce pansement en cellophane empêche les tensions sur la cicatrice qui n’ont pas tendance à s’élargir et qui diminue considérablement la douleur. Aucun Laser, ni @Urgotouch, en vogue depuis quelques années, qui à mes yeux, suppléait maladroitement des réalisations peu engagées et appliquées. Tous les laser du monde n’apporterons pas une cicatrice optimale si le boulot réalisé au bloc ne l’est pas… cela n’engage que moi !

Toutes les peaux peuvent bien cicatriser, il suffit de les apprivoiser, les comprendre, les respecter. Seule 2-3% des patientes vont, dans mes mains échapper à cette théorie. Ainsi la cicatrisation ne dépend pas des patientes mais de l’acte réalisé par le praticien. A ce propos je m’engage.

La TECHNIQUE CHIRURGICALE de la Réduction mammaire

2 techniques chirurgicales différentes, la réduction mammaire à cicatrice verticale pure, OU, la Réduction mammaire en T inversée, ou « ancre de Marine » comme on dit de manière dénigrante.

 

La réduction mammaire à cicatrice verticale pure 

En fin d’intervention il persiste une cicatrice autour de l’aréole et verticale de l’aréole jusqu’au sillon sous mammaire. Il n’y a aucune cicatrice dans le sillon sous mammaire !

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma jeune patiente, présentait non seulement :

  • Une poitrine hypertrophique, trop grosse pour sa silhouette,
  • Mais aussi des seins tubéreux, c’est à dire étroit avec une zone vide entre les seins.

J’ai pratiqué une plastie mammaire de réduction :

  • Avec cicatrice verticale pure, sans cicatrice dans le sillon sous mammaire
  • Alors que si j’avais réalisé une plastie mammaire en T inversée, elle aurait fait entre 13 à 15 cm dans les sillons sous mammaires.

Par ailleurs, j’ai réalisé un lipofilling ( 240cc/ coté) des zones mammaires internes pour que les seins soient plus rapprochés. Chez les jeunes patientes, il me semble important, voir incontournable de s’astreindre, tant que possible, à ne pas faire de cicatrice dans le sillon sous mammaire. En effet, l’évolution des cicatrices du sillons sous mammaires, même réalisées avec rigueur, peuvent chez les jeunes patientes,  laisser des traces esthétiquement à pénalisantes pour leur vie intime à venir.

EXEMPLE CAS PATIENT

Chez ma jeune patiente de 23 ans qui présentait une hypertrophie mammaire. J’ai réalisé une plastie mammaire de réduction avec seule cicatrice verticale pure sans aucune cicatrice dans le sillon sous mammaire.

 Nous sommes à 8 mois après son intervention, les cicatrices vont continuer de s’estomper pendant encore un peu moins d’un an.

Chez les jeunes patientes dont la peau est élastique, il est important de limiter la longueur des cicatrices tant que le résultat final n’en pâtit pas. Chez les jeunes, malgré une application rigoureuse dans leur réalisation , les cicatrices horizontales dans le sillon sous-mammaires ne sont pas toujours très discrètes, et s’avèrent souvent pénalisantes.

Ce qui représente un avantage plus que significatif comparé aux réductions mammaires en T inversée dont les cicatrices, même bien situées dans le sillon sous-mammaire sont toujours plus visibles.

Cette technique complexe et d’expérience (très peu de chirurgiens la pratiquent) se présente excellente pour les patientes dont la peau est épaisse et élastique et dont la glande mammaire est dense et fibreuse. En pratique chez des patientes habituellement plus jeunes de moins de 45 ans, mais cela est à déterminer au cas par cas.

Mal réalisée ou réalisée chez des patientes mal sélectionnées, les seins peuvent en pâtir en se relâchant de manière prématurée.

A noter que cette réduction mammaire à cicatrice verticale pure est de cicatrisation parfois un peu plus longue et fastidieuse que les réductions mammaires en T inversé. Mais l’absence de cicatrice dans le sillon vaut bien quelques minimes et somme toute rares inconvénients.

 

La Réduction mammaire en T inversée

La cicatrice finale est autour de l’aréole, verticale jusqu’au sillon sous mammaire, huis horizontale dans le sillon, d’une longueur allant jusqu’à 15 cm par sein.

EXEMPLE CAS PATIENT

Ma patiente lors de la consultation souhaite diminuer de manière significative le volume de sa poitrine, elle vise un bon bonnet B, mais pas plus. J’ai réalisé une plastie mammaire dé réduction, assez agressive, mais nuancée.

Mais le risque des patientes qui souhaitent un volume modéré est :

  • Qu’elles le regrettent
  • Et que les seins soient trop plats lorsqu’ils sont large comme chez ma patiente.

Nous sommes à 15 mois de son intervention, les cicatrices von très peu se modifier et sont presque définitives.

Elle est bien plus simple de réalisation, et est la préférée des chirurgiens plasticiens. La cicatrice finale est simple et en principe sans surprises… en dehors de sa longueur, chez les patientes jeunes, la cicatrisation du sillon sous-mammaire peuvent laisser des cicatrices un peu visibles et cela Malgré une rigoureuse application lors de sa réalisation. La peau du sillon sous mammaire est connue pour être bien plus réactive, les cicatrices en pâtissent.

 

Le déroulement de l’intervention

L’intervention se déroule au bloc opératoire, sous anesthésie générale d’une durée de 2 à 3 heures. 

En salle d’intervention, le préalable à l’intervention est de dessiner et prendre des repères chirurgicaux sur la peau du buste des patientes. On repère le sillon sous mammaire, la future position de l’aréole ainsi que la surface de peau à enlever pour pratiquer une pince inférieure.

EXEMPLE CAS PATIENT

Au préalable à toute intervention de plastie mammaire de réduction, au bloc opératoire, je fais des dessins sur la poitrine de mes patientes. Ces dessins sont de repères chirurgicaux dont la qualité impacte le résultat et le bon déroulement de l’opération.

Puis la patiente est endormie. Une fois endormie, on assoit la patiente, cette position permet de bien mieux maîtriser le résultat, la forme de seins, leur symétrie.

EXEMPLE CAS PATIENT

La position assise au bloc opératoire durant l’intervention,  permet de bien contrôler  la bonne qualité de :

  • La forme bien ronde des seins
  • La position de l’aréole
  • La symétrie de position et de volume des seins

L’aréole est remontée à la position souhaitée attachée à une bande de glande supéro-interne qui assure sa viabilité (on parle de pédicule supéro-interne).

Puis, la glande mammaire est remontée par suspension à la paroi musculaire du thorax. J’enlève une certaine quantité de glande et de peau pour rentrer dans le projet de volume de ma patiente. Puis, je réalise la suture de la peau avec l’application qu’on me connaît :

  • Utilisation que de fils très fins (Monocryl 5/0)
  • Pour la cicatrice de l’aréole : aucun point profond. Exclusivement un seul et unique surjet intra dermique très appliqué de Monocryl 5/0.
  • Pour le reste des cicatrices verticales et dans le sillon sous mammaire lorsque T inversé, très peu de points profonds au Monocryl 5/0. Un surjet intradermique très appliqué au même fil.
  • La réalisation du « pansement scellant », par strip collés et cellophane médicalisé : Ce pansement est un soutien-gorge sur mesure. Il n’est pas à remplacer et ma patiente le conserve 4 à 6 semaines.

EXEMPLE CAS PATIENT

Les « pansements scellant » sont posés stérilement au bloc opératoire, en fin d’intervention. Ils restent propres, et ici nous sommes à 8 jours de l’intervention.

Mes patientes les gardent en moyenne 1 mois durant lequel :

  • Elles peuvent prendre des douches
  • Elles ont moins mal, car les tensions sur les cicatrices sont prises en charge par les pansements.
  • Peuvent ne pas porter de soutien-gorge
  • N’ont pas besoin de soins infirmiers
  • Peuvent m’adresser des photos pour que je surveille la bonne qualité de la cicatrisation

Durant lesquelles, elle n’a pas à porter de soutien-gorge ET elle peut prendre des douches dès le soir de l’intervention.

PRENDRE RDV

L’INTERVENTION

La consultation

Elle se déroule à mon cabinet et dure en moyenne 45 mn. 2 à 3 consultations sont nécessaires pour préciser votre projet, durant lesquelles nous faisons connaissance, vous m’expliquez ce que vous reprochez à vos seins. Je vous examine, devant un miroir puis je prends des photos de votre buste : Face /et ¾ droit et gauche.

EXEMPLE CAS PATIENT

Au cabinet, en consultation, sur un mur gris foncé, je prends 3 photos de votre buste, il s’agit :

  • Du point de départ de votre projet
  • De manière médico-légale, je ne peux vous opérer sans prendre de photos.
  • Elles vous permettront après l’intervention de comparer le résultat avec celles d’avant.
  • Elles me permettent de sélectionner des photos de patientes qui auraient le même profil et même objectif que vous pour vous montrer leur résultat.
  • Cela vous permet d’apprécier ou non ce que je sais faire.
  • Il serait insensé de se faire opérer par un praticien dont vous n’aimeriez pas les résultats.
  • Elles me permettent enfin de préparer votre dossier en vue de l’intervention chirurgicale.

Nous examinons vos photos sur mon ordinateur, il est important que vous voyez votre poitrine sur photos, cela nous permet de préciser au mieux votre projet.

Je vous montre des résultats de patientes qui se présentaient avec le même type de poitrine et le même projet que vous. Car il est indispensable que mes résultats vous conviennent, il serait absurde de se faire opérer par un chirurgien dont les résultats ne vous plairaient pas.

Je vous explique l’intervention, ses avantages/inconvénients/risques/récupération et je réponds à vos questions.

Puis mes assistantes vous prennent en charge pour commencer, si vous le souhaitez, à organiser votre intervention :

  • Bilan imagerie mammaire après 30 ans
  • Bilan sanguin
  • RV en visio avec l’anesthésiste
  • Nouveau RV avec moi
  • Remise de devis et consentement mutuel

Nous aurons l’occasion de nous revoir 1 à 3 fois avant votre entrée à la clinique.

L’intervention

  • À LA CLINIQUE

En hospitalisation, vous passerez une nuit à la clinique. Quelques jours avant l’intervention, mes assistantes vous préciserons l’heure d’arrivée à la clinique. Après un passage dans votre chambre, vous êtes descendue au bloc opératoire avec vos bas de contention et vos 2 vessies de glace.

Je vous y retrouve et nous prenons un moment ensemble, 10/15 mn, pour que je réponde à vous dernières interrogations, et réalise des repères chirurgicaux au feutre sur vos seins.

L’intervention dure entre 2 et 3 heures, au terme de laquelle je vous confectionne un pansement « scellant ».

EXEMPLE CAS PATIENT

Nous sommes en fin d’intervention, ma patiente dort encore, je viens de façonner le « pansement scellant ». Ma patiente va être réveillée dans quelques minutes.

Celui-ci reste en place pendant 4/6 semaines durant lesquelles vous pouvez prendre des douches quotidiennes.

Vous n’aurez aucun soin par une infirmière et vous ne porterez pas de soutien-gorge, il n’est pas nécessaire car le pansement « scellant », car non élastique, vous maintient les seins.

Après un passage en salle de réveil, vous êtes remontée dans votre chambre pour surveillance. Des poches de glaces sont appliquées sur vos seins. Je passe vous voir quelques heures après pour m’assurer de la bonne évolution de vos seins, de la bonne coloration de vos aréoles. Vous resterez une nuit en surveillance et je repasse le lendemain pour valider la sortie.

  • CHEZ VOUS OU À VOTRE HÔTEL

Vous devez rester attentive à vos seins et continuer à appliquer régulièrement des vessies de glace sur votre poitrine pour :

    • Diminuer le gonflement
    • Diminuer la douleur
    • Diminuer le risque de saignement et infection

Vous devez également m’adresser des photos de vos seins dès le lendemain et pendant quelques jours… Car je souhaite vous apporter ma surveillance avant de se revoir en consultation à 8-10 jour.

Vous devez prendre des douches quotidiennes, pas de bains. AUCUN soin n’est à envisager par une infirmière, le pansement en Cellophane doit théoriquement rester INTACT.

  • LA PREMIÈRE CONSULTATION POST OPÉRATOIRE 

Elle se déroule 8 à 10 jours après l’intervention. Je m’assure que tout va bien. On ne change pas le pansement qui est quasi INTACT.

EXEMPLE CAS PATIENT

Nous sommes à 21 jours post opératoire, lors de la consultation des 3 semaines, le « pansement scellant » est encore intact. Ma patiente à qui j’ai réalisé une plastie mammaire de réduction à cicatrice verticale pure, va garder le pansement 15 jours supplémentaires.

  • PUIS ON SE REVOIT EN CONSULTATION

Tous les 10/12 jours, ou si vous habitez loin, vous m’adressez des photos que je vous commente en retour, jusqu’au moment où le pansement commence à se décoller, autour de 4- 5 semaines. Alors, je l’enlève. Les cicatrices sont propres. Vous ne porterez pas de pansement pendant 8 jours et vous pouvez commencer à porter un soutien-gorge. Les pansements siliconés sont commencés 8 jours après.

EXEMPLE CAS PATIENT

Les pansement siliconés, appliqués à partir de la 6e semaines après l’intervention, sont à garder entre 3 et 4 mois. Ils sont renouvelés par mes patientes quand ils se décollent, tous le 5-8 jours. Ils permettent de s’opposer à l’éventuel épaississement des cicatrices et s’avèrent anti-inflammatoires.

  • LE SUIVI AU-DELÀ

Je réalise un suivi jusqu’à 18 mois après l’intervention qui me permet de prendre des photos au cours de l’évolution et de m’assurer de la bonne évolution :

  • De la forme des seins
  • De la qualité de vos seins
  • De la bonne qualité des cicatrices

LES INCONFORTS ET RISQUES CHIRURGICAUX

L’intervention de réduction mammaire porte les femmes qui retrouvent leur liberté et affection à l’égard de leur poitrine.

C’est ce que je nome « être bien dans ses seins », ce qui ne semble pas vraiment donné à tout le monde, et qui pourtant semble un réel élément du bien-être.

A noter que lors d’une plastie mammaire de réduction pour Hypertrophie Mammaire, les douleurs cervicales et dorsale occasionnées par des seins trop lourds, s’estompent voir disparaissent dans la semaine après l’intervention.

Les inconforts de la réduction mammaire

Au-delà du confort que génère cette intervention, il se passe quelques inconforts, avec lesquels les patientes s’accordent, d’autant plus qu’ils sont temporaires :

  • Juste après l’intervention, la douleur: Elle est comprise entre 2 et 4 sur une échelle de 10, pendant 2-4 jours. Elle est très bien maîtrisée par des antalgiques simples : Doliprane et Lamaline, Acuppan, par le pansement « scellant », en cellophane qui anéantit les tensions sur les cicatrices et par l’application de vessies de glaces.
  • La diminution ou modification de la sensibilité érogène des aréoles : Elle est souvent temporaire ou partielle et récupère régulièrement suffisamment pour que ce ne soit plus un sujet après 18 mois. Malgré tout elle peut diminuer de manière définitive, souvent que d’un côté, sans que je puisse braiment l’expliquer.Je pratique une technique qui protège les patientes contre trop de désagrément dans cette direction.
  • La diminution de la sensibilité cutanée générale de seins : Elle se récupère habituellement progressivement sur 18 mois.
  • La difficulté à allaiter : Malgré une technique qui tend à préserver l’allaitement, certaines patientes auront du mal à allaiter, sachant que de nombreuses patientes aux fortes poitrines peuvent être spontanément gênées pour allaiter.

Les risques de la Réduction mammaire :

 

  • Le saignement en profondeur du sein: Il forme une poche de sang appelé « hématome ». Se manifeste par un sein qui gonfle rapidement dans le quelques heures après l’intervention. Il concerne une patiente sur 350, donc assez rare. Mène à une réintervention, 20-30 mn, pour lavage et arrêt du saignement.
  • L’infection : Elle est très rare, une rougeur apparaît quelques jours après l’intervention. Elle est traitée par antibiotique et nécessite rarement une réintervention pour drainer une poche de liquide infectée.
  • La nécrose partielle de l’aréole : Il s’agit de la conséquence d’une souffrance de la peau de l’aréole. Cette souffrance s’explique car la modification de la place de l’aréole peut pénaliser sa vascularisation artérielle comme veineuse. Elle est rare lorsque le praticien a de l’expérience. En tout cas, il y a urgence à prendre en charge une souffrance d’une aréole avant qu’elle dérive vers la nécrose, c’est à dire la perte et disparition d’une partie de l’aréole. La prise en charge n’attend pas le lendemain c’est pour cela que je demande à mes patientes de m’adresser des photos dès qu’elles rentrent chez elle le lendemain de l’intervention et les jours qui suivent… Des soins sont prodigués en urgence : scarification de l’aréole, anticoagulant sous cutanés aréolaire, patch de dérivés nitré sur l’aréole, suivi quotidien.
  • La cyto-stéato-nécrose : Souffrance voire nécrose d’une partie souvent minime de la graisse du sein. Elle se manifeste par une induration d’un des deux seins, quelques semaines après l’intervention. En soit n’est pas vraiment grave, mais peut être source d’inconfort, à cause de la pesanteur de la région. Parfois d’infection, elle est traitée par antibiotiques.

    PRENDRE RDV

    VOUS POUVEZ PRENDRE RENDEZ-VOUS AVEC LE DOCTEUR SARFATI PAR MAIL, TÉLÉPHONE OU SUR DOCTOLIB.