La Rhinoplastie

Introduction

En chirurgie esthétique, la Rhinoplastie est une des interventions les plus motivantes.

La Rhinoplastie, fait l’objet de nombreux congrès chirurgicaux, est en pleine évolution technique.

On ne parle plus que de Rhinoplastie conservatrice et piezotome depuis déjà quelques années. C’est pour dire que les chirurgiens, dans ce domaine très singulier, font changer les choses pour des résultats toujours meilleurs. Mais cet acte reste une intervention d’expérience, malgré tout solidement liée à la main de l’homme et son savoir-faire.

Les caractères du nez participent à l’identification des visages, des individus, des ethnies.

Le nez est différent selon les ethnies : petit et retroussé chez les Nordiques, droit et en continuité avec le front chez les Grecs, aplati à petites narines chez les Asiatiques, aplati à grandes narines chez les Africains, et plutôt proéminent chez les méditerranéens et les Sémites.

Dans tous les cas, il tend naturellement à s’harmoniser au reste du visage où il s’intègre dans une logique formative. Le nez peut à lui seul communiquer avec le monde environnant.
Il adoucit le visage lorsque l’on ne le remarque pas. Il peut malheureusement rendre le visage moins gracieux, plus masculin, lorsqu’il est trop visible ou proéminent.

Malgré tout, certaines personnes préfèreraient un nez plus discret.

EXEMPLE CAS PATIENT

Chez ma patiente d’origine turque, j’ai réalisé une rhinoplastie conservatrice type « Push down », un traitement de la largeur et de rehaussement la pointe.

Le résultat est à 14 mois post opératoire.

Ce qu’il faut savoir

Cette intervention permet d’harmoniser le nez avec le visage. La rhinoplastie féminise et rajeunit le visage des femmes, et adoucit celui des hommes.

Les objectifs établis lors du projet pré-opératoire sont, associés ou non :

  • soustraire à l’arête nasale une bosse disgracieuse ;
  • diminuer la largeur du nez, la taille des ailes du nez ;
  • diminuer et relever la projection de la pointe, d’affiner ses reliefs ;
  • corriger une imperfection et une déviation de l’arête ou de la cloison nasale pour traiter un trouble respiratoire.

EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 13

Sur ces photos, chez ma patiente de 24 ans, nous sommes à 12 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », accompagnée d’un important travail sur la pointe initialement très bulbeuse que nous avons affiné considérablement et remonté.

Sur ces photos, chez ma patiente de 24 ans, nous sommes à 12 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », accompagnée d’un important travail sur la pointe initialement très bulbeuse que nous avons affiné considérablement et remonté.

EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 13

Chez ma patiente de 19 ans, j’ai réalisé :

  • une rhinoplastie conservatrice type »Push down »,
  • avec ostéotomie para-médiane d’affinement du dorsum,
  • un traitement agressif de pointe que je devais affiner et remonter. 

Le résultat est à 10 mois post opératoire.

Chez ma patiente de 19 ans, j’ai réalisé :

  • une rhinoplastie conservatrice type »Push down »,
  • avec ostéotomie para-médiane d’affinement du dorsum,
  • un traitement agressif de pointe que je devais affiner et remonter.

Le résultat est à 10 mois post opératoire.

EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 13

Chez ma patiente de 18 ans, j’ai réalisé une rhinoplastie de conservation type « Push down », travail de réduction de la largeur de la pointe et son rehaussement. Nous sommes à 12 mois de son intervention.

Chez ma patiente de 18 ans, j’ai réalisé une rhinoplastie de conservation type « Push down », travail de réduction de la largeur de la pointe et son rehaussement. Nous sommes à 12 mois de son intervention.

EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 13

Nous à 4 mois d’une rhinoplastie de conservation type « Let down » et râpage préalable du dorsum, chez ma patiente qui se présentait avec au nez bien tombant. La pointe a donc aussi été relevée pour s ‘adapter à la nouvelle situation du dorsum.

Nous à 4 mois d’une rhinoplastie de conservation type « Let down » et râpage préalable du dorsum, chez ma patiente qui se présentait avec au nez bien tombant. La pointe a donc aussi été relevée pour s ‘adapter à la nouvelle situation du dorsum.

EXEMPLE CAS PATIENT 5 SUR 13

Ma jeune patiente a bénéficié d’un Rhinoplastie dites « standard » de résection directe de la bosse et travail sur la pointe qui se présentait comme trop large à son gout.

Ma jeune patiente a bénéficié d’un Rhinoplastie dites « standard » de résection directe de la bosse et travail sur la pointe qui se présentait comme trop large à son gout.

EXEMPLE CAS PATIENT 6 SUR 13

Ici, le résultat à 3 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », précédée d’un bon râpage du dorsum et traitement de la pointe initialement trop large et basse au gout de ma patiente.

Ici, le résultat à 3 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », précédée d’un bon râpage du dorsum et traitement de la pointe initialement trop large et basse au gout de ma patiente.

EXEMPLE CAS PATIENT 7 SUR 13

Chez ma jeune patiente de 25 ans, j’ai pu réaliser une technique de rhinoplastie de conservation type »Let Down », précédée d’un bon râpage de la bosse, conservant ainsi au mieux le dorsum nasal.

Chez ma jeune patiente de 25 ans, j’ai pu réaliser une technique de rhinoplastie de conservation type »Let Down », précédée d’un bon râpage de la bosse, conservant ainsi au mieux le dorsum nasal.

EXEMPLE CAS PATIENT 8 SUR 13

Chez ma patiente qui se présentait avec une sévère déviation après 3 interventions esthétiques, j’ai réalisé une rhino septo plastie type « Standard », par voie ouverte. Nous sommes à 1 an après l’intervention, les 2 trois-quart se ressemblent bien, le nez reste bien  axé.

Chez ma patiente qui se présentait avec une sévère déviation après 3 interventions esthétiques, j’ai réalisé une rhino septo plastie type « Standard », par voie ouverte. Nous sommes à 1 an après l’intervention, les 2 trois-quart se ressemblent bien, le nez reste bien  axé.

EXEMPLE CAS PATIENT 9 SUR 13

Voici le résultat à 9 mois, chez ma patiente âgée de 35 ans, qui se présentait avec une bosse marquée, une pointe large et tombante. J’ai pratiqué une rhinoplastie de conservation type « Let down », stabilisation de la pointe sur un étai et diminution des cartilages alaires.

Voici le résultat à 9 mois, chez ma patiente âgée de 35 ans, qui se présentait avec une bosse marquée, une pointe large et tombante. J’ai pratiqué une rhinoplastie de conservation type « Let down », stabilisation de la pointe sur un étai et diminution des cartilages alaires.

EXEMPLE CAS PATIENT 10 SUR 13

Nous sommes à 18 mois d’une rhinosptoplastie de diminution et conservation du septum type « push down », complétée par un travail d’affinement de la pointe.

Nous sommes à 18 mois d’une rhinosptoplastie de diminution et conservation du septum type « push down », complétée par un travail d’affinement de la pointe.

EXEMPLE CAS PATIENT 11 SUR 13

Chez ma jeune patiente de 24 ans, j’ai pratiqué une rhino-septoplastie conservatrice du dorsum nasal type »Let down », associé à une prise en charge de la pointe du nez pour l’affiner et la remonter. Le résultat est à 12 mois après l’intervention.

Chez ma jeune patiente de 24 ans, j’ai pratiqué une rhino-septoplastie conservatrice du dorsum nasal type »Let down », associé à une prise en charge de la pointe du nez pour l’affiner et la remonter. Le résultat est à 12 mois après l’intervention.

EXEMPLE CAS PATIENT 12 SUR 13

Résultat d’un traitement d’une déviation nasale et profiloplastie par technique dite « Push down » chez ma patiente de 24 ans à un an de son intervention.

Résultat d’un traitement d’une déviation nasale et profiloplastie par technique dite « Push down » chez ma patiente de 24 ans à un an de son intervention.

EXEMPLE CAS PATIENT 13 SUR 13

Nous sommes à 9 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », râpage préalable du dorsum, traitement de la pointe initialement un peu trop large et basse.

Nous sommes à 9 mois d’une rhinoplastie conservatrice type « Push down », râpage préalable du dorsum, traitement de la pointe initialement un peu trop large et basse.

LE PREMIER RENDEZ-VOUS

  • Lors de notre première consultation :
    Lors de la consultation préopératoire, les premières minutes d’entretien permettent au d’apprécier l’ambiance du visage, les éléments à caractères prédominants, les éléments masculinisant ou féminisant (obliquité du front, rides du lion marquées, sillons naso géniens profonds, projection du menton, épaisseur des narines, projection des pommettes). Cela donne une première idée, très intuitive, des éléments à corriger.
    Ensuite le nez, l’épaisseur et l’élasticité de la peau de la pointe et de l’arête, les éventuelles imperfections de la structure osseuse ou cartilagineuse profondes (parfois séquelle de traumatisme connu ou inconnu, ou de chirurgie antérieure) sont examinés.
    Enfin, la qualité de la respiration est évaluée.
  • Puis vous avez la parole :
    Avant tout commentaire de ma part, avant toute suggestion, je vous sollicite pour que vous m’exposiez le réel objet de votre consultation, ce que vous reprochez à son nez. Chaque patient se connaît fort bien et a très souvent déjà construit et imaginé la forme idéale de son futur nez.
  • la séance de photos
    Après vient la désagréable mais incontournable séquence de PHOTOS : de face, de trois-quarts, de profils, ainsi qu’une vue inférieure.
  • Alors, je vous fais des propositions de projets de résultats, en dessinant sur des photos imprimée et sur mon ordinateur
    Et c’est à vous que revient le choix de votre objectif. Ce choix s’accompagne d’une véritable discussion et de quelques conseils.
  • Nous abordons la description de l’intervention
    Je vous décris l’intervention chirurgicale dans son aspect technique. La chirurgie esthétique, si elle est difficile à réaliser, est en revanche simple à comprendre. Les patients doivent avoir quelques idées de la logique de construction de leur nez ; Des explications accompagnées de schémas et résultats sont aussi présentées.L’arête nasale ou dorsum

    L’arête nasale ou dorsum

    Le dorsum est une structure constituée d’os et de cartilages. Il fait souvent l’objet d’une bosse, d’une largeur trop importante, d’une déviation. Cette bosse ou autres déformations sont corrigées en sculptant ces éléments osseux et cartilagineux dans les trois plans de l’espace.

    EXEMPLE CAS PATIENT

    L’architecture du nez se constitue d’OS pour la moitié haute, et pour la moitié basse de cartilages qui forment le bas du dorsum nasal et les ailes du nez. Lors d’une rhinoplastie, on intervient sur toutes ces structures.

    PRENDRE RDV

    VOUS POUVEZ PRENDRE RENDEZ-VOUS AVEC LE DOCTEUR SARFATI PAR MAIL, TÉLÉPHONE OU SUR DOCTOLIB.

    Le traitement du dorsum : deux stratégies

    La classique
    • 15 % de mes patientes

    EXEMPLE CAS PATIENT

    • La technique de diminution du volume de l’arête nasale en enlevant une barrette osseuse et cartilagineuse.
    • Une des difficultés de ce type de rhinoplastie est d’obtenir une parfaite symétrie, une arête bien droite, une largeur maîtrisée du futur nez. Une imperfection sur un de ces éléments serait préjudiciable au résultat.
    La technique de rhinoplastie conservatrice
    • 80 % de mes patientes, consiste à impacter l’arète nasale :
    • Technique du « Push down », emboitement sans ressection osseuse, de la pyramide nasale sur sa base.

    EXEMPLE CAS PATIENT

    • Technique du « Let down », emboitement avec ressection osseuse, de la pyramide nasale sur sa base

    EXEMPLE CAS PATIENT

    • À noter : au mieux, toutes les sections osseuses se réalisent, pour plus de précisions, grâce à un piezotome, en pratique une technologie aux ultrasons qui permet de contrôler avec une meilleure précision les coupes osseuses

    Le Dorsum présente ses singularités

    Les bosses

    • Les patientes qui présentent une bosse marquée sont à l’origine d’une forte demande de rhinoplasties.
    • Il est vrai qu’un profil plus doux rajeunit et féminise le visage.

    Mais il faut savoir respecter les souhaits et besoin de chacune des et il ne serait pas convenable que toutes les femmes du monde se retrouvent avec le même nez après leur intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 3

    Chez ma jeune patiente, j’ai pu réaliser un »Let Down » de conservation du dorsum nasal, et ce, malgré la déviation à droite du nez. Nous sommes à un an de l’intervention.

    Chez ma jeune patiente, j’ai pu réaliser un »Let Down » de conservation du dorsum nasal, et ce, malgré la déviation à droite du nez. Nous sommes à un an de l’intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 3

    Ici, le résultat à 4 mois d’une rhinoplastie « Let down » de conservation et râpage du dorsum, chez ma patiente au nez bien tombant, accompagné ici d’un traitement pour  remonter la pointe de manière significative.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 3

    Nous sommes à 11 mois d’un Rhinoplastie dites « standard » de résection directe de la bosse , chez ma  patiente de 22 ans, pour laquelle j’ai , par ailleurs réalisé un travail pour affiner et mieux définir la pointe.

    Les dorsum larges

    Les arêtes nasales larges sont pour la plupart constitutionnelle.

    Elles s’accompagnent classiquement de position un peu écartée des yeux, c’est pourquoi, il est parfois important de nuancer le geste chirurgical qui consiste à affiner de l’arête au risque de créer un nez étroit entre 2 yeux écartés, ce serait une erreur.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 3

    Ma jeune patiente se présentait avec un nez et une pointe bien trop large à son gout. J’ai pratiqué :

    • une rhinoplastie conservatrice type »Let down »,
    • associée à des ostéotomie para-médianes pour affiner le dorsum.
    • La pointe a été traitée par résection carlatigineuse importante, plicature des dômes sur un solide étai.

    Nous sommes à 6 mois de l’intervention, la pointe va continuer de s’affiner sur 2 ans.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 3

    Ma patiente présentait une légère déviation mais aussi un nez large et peau épaisse.

    J’ai réalisé une rhinoplastie de réduction »Standard », avec résection et affinement in situ du dorsum nasal, traitement agressif de la pointe stabilisée sur un étai columellaire solidement fixé au septum. Nous sommes à un an post opératoire.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 3

    Les nez déviés

    Certaines personnes présentent une déviation du nez, souvent associé à une déviation de la cloison nasale, le septum.

    L’origine de la déviation peut être un traumatisme même minime de l’enfance, un traumatisme connu (parfois chirurgical), ou juste une déformation congénitale. Parfois cette déviation s’accompagne d’une gêne respiratoire. Cette déviation est souvent vécue comme esthétiquement pénalisante.

    L’intervention réalisée pour réaxée le nez est bien sûr moins simple qu’opérer un nez symétrique. Elle est souvent plus longue et fastidieuse, demande beaucoup de savoir-faire.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 4

    Chez ma jeune patiente qui présentait un nez dévié à droite, séquelle d’un accident de volley-ball, j’ai pratiqué une rhinoplastie « push down » et une ré-axation du dorsum nasal resté intact. Le résultat est a un an de son intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 4

    Ici le résultat à 18 mois d’une rhinoplastie de diminution et ré-axation type « push down », complétée par un travail d’affinement de la pointe.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 4

    Chez ce jeune homme, le traitement de la déviation de la pyramide nasale, mais aussi du septum, a nécessité une rhinoplastie « standard, par voie externe et septoplastie. J’ai profité de cet acte pour adoucir le profil de mon patient en reséquant de manière nuancée la bosse du dorsum.

    EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 4

    Le résultat de la prise en charge de mon patient, gêné par une  importante déviation du nez post traumatique. J’ai réalisé une rhino-septoplastie »standard », par voie fermée.

    PRENDRE RDV

    La pointe

    EXEMPLE CAS PATIENT

    Chez ma patiente d’origine turque, j’ai réalisé une rhinoplastie conservatrice type « Push down », un traitement de la largeur et de rehaussement la pointe.

    Le résultat est à 14 mois post opératoire.

    Elle est composée d’une structure faite de cartilage souple recouvert par la peau dont l’épaisseur, la souplesse et l’élasticité vont déterminer la stratégie chirurgicale.

    • La pointe présente très souvent une hauteur (projection) trop importante : il convient donc de diminuer la hauteur des cartilages des ailes du nez.

    EXEMPLE CAS PATIENT

    Ma jeune patiente disposait d’une pointe et nez bien trop large à son gout. J’ai pratiqué :

    • une rhinoplastie conservatrice type »Let down »,
    • des ostéotomie para-médianes.
    • La pointe a été allégée par résection cartilagineuse importante, plicature des dômes sur un solide étai.

    La photo est prise à 6 mois après l’intervention.

    Une pointe trop large est le reflet d’une pliure insuffisante des cartilages du sommet de la pointe, les dômes : en les fragilisant et en les fixant pour majorer cette pliure, le bénéfice consiste en une pointe plus étroite et fine.

    EXEMPLE CAS PATIENT

    Ici, ma patiente dans une présentation atypique question largeur de pointe.

    J’ai réalisé une rhinoplastie conservatrice type »Push down », et un travail important sur la pointe, avec diminution importante des cartilages alaires, étai columellaire de stabilisation des plicatures des dômes, Ajustement des ailes du nez.

     Nous sommes à 5 mois de l’intervention.

    Parfois la peau est très épaisse et peu souple : il faut renforcer la structure cartilagineuse de la pointe qui aurait tendance à s’affaisser sous la pression de son enveloppe. Le pilier central et principal de la pointe qui passe entre les deux narines (ce pont séparant les deux narines s’appelle la columelle) est armé. La technique utilisée évite autant que possible d’apposer des greffons cartilagineux sur la pointe. Si l’effet est bon à court terme, leurs évolutions à long terme restent incertaines.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 5

    Ma jeune patiente disposait d’une pointe et nez bien trop large à son gout. J’ai pratiqué :

    • une rhinoplastie conservatrice type »Let down »,
    • des ostéotomie para-médianes.
    • la pointe a été allégée par résection cartilagineuse importante, plicature des dômes sur un solide étai.

    La photo est prise à 6 mois après l’intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 5

    J’ai réalisé chez ma patiente, une rhinoplastie dite standard de résection in situ de la bosse, et un solide traitement de la pinte qui se présentait comme trop large.

    Le résultat est à 18 mois après son intervention, la peau s’est bien appliquée sur la solide structure et armature des cartilages.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 5

    EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 5

    La pointe de ma patiente lui semblait trop large et en boule . En plus d’une rhinoplastie conservatrice, j’ai travaillé sur la pointe afin qu’elle épouse naturellement la nouvelle position du dorsum nasal.

    EXEMPLE CAS PATIENT 5 SUR 5

    Ici, ma patiente dans une présentation atypique question largeur de pointe. J’ai réalisé une rhinoplastie conservatrice type »Push down », et un travail important sur la pointe, avec diminution importante des cartilages alaires, étai columellaire de stabilisation des plicatures des dômes, Ajustement des ailes du nez.

    Nous sommes à 5 mois de l’intervention.

    Les peaux épaisses

    Certaines patientes présentent une peau épaisse, ce qui rend plus difficile la rétractation de la peau sur une structure plus menue. Parfois une phase de dégraissage de la sous peau de la pointe est recommandée.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 2

    Il a été réalisé une rhinoplastie conservatrice type « Let down » et traitement avec dégraissage de la pointe chez ma jeune patiente. Ici, la photo est prise à 15 mois de son intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 2

    Chez ma jeune patiente, la peau de la pointe était très épaisse. J’ai dégraissé la peau par sa face profonde, en plus de réaliser un traitement des cartilages dont les dômes sont adossés sur un solide étai.

    Nous sommes à un post opératoires, l’ensemble du nez s’en trouve bien allégé.

    Les ailes du nez

    Certaines personnes présentent des ailes du nez trop longues associées à des orifices narinaires trop grands. Une réduction de la taille des narines par une résection de leurs bases s’avère donc nécessaire.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 2

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 2

    Les hommes

    Les rhinoplastie chez les hommes répondent à la même technique que celle des femmes.

    La vraie différence est la nuance sur le retrait du dorsum et sur la finesse de la pointe, car un nez d’homme n’a pas la même forme que celui des femmes, il serait dommage de trop féminiser les hommes !

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 4

    Chez mon patient de 26 ans, j’ai pratiqué une rhinoplastie type « push down », de manière nuancé, car le profil des hommes ne doit pas ressembler à celui des femmes !

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 4

    Nous sommes à un d’une rhino-septo-plastie « standard » chez mon jeune patient. La résection de la bosse a été adaptée à son profil de garçon.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 4

    Chez ce jeune patient Turque, j’ai pratiqué une rhinoplastie de réduction importante type « let down ». Les résections ont été très engagées, avec ici une bonne conservation du dorsum nasal. La pointe a été relevée pour s’adapter à son nouveau nez.

    EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 4

    Ici le résultat à un an de la prise en charge d’une déviation et désir de rhinoplastie de réduction par la méthode dite « standard ». Le profil des hommes doit bien rester dans la mouvance de l’origine du visage… au risque de paraître bien ridicule.

    Les rhinoplasties ethniques

    Certains patients d’origine asiatique, indienne ou africaine, le volume général du nez doit être augmenté. Cette intervention nécessite l’utilisation d’additifs de cartilage ou d’implants appliqués en greffes sur l’arête nasale. Ces appositions sur le dorsum viennent en complément du travail sur la pointe du nez.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 2

    Chez ma patiente âgée de 29 ans, qui souhaitait un nez plus caucasien, résultat à 9 mois d’une rhinoplastie conservatrice à minima, associé à une prise en charge de la pointe et des ailes du nez.

    Chez ma patiente âgée de 29 ans, qui souhaitait un nez plus caucasien, résultat à 9 mois d’une rhinoplastie conservatrice à minima, associé à une prise en charge de la pointe et des ailes du nez.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 2

    Chez ma patiente dont l’origine est l’Asie, j’ai réalisé une rhinoplastie d’augmentation par greffon septal, tuilé et renforcé sur la moitié basse. Le résultat est à 12 mois après l’intervention.

    Les rattrapages

    Toute la difficulté se situe dans les rattrapages, chez des patientes opérées 2-3-4 fois, qui ont perdu toutes confiance en une possibilité de récupération d’un nez juste normal.

    Ces technique font appelle, au cas par cas, selon les découvertes que l’on fait au bloc opéaratoire, à des greffes d’os, de cartlage du dorsum, en étai, des sutures et plicatures cartilagineuses.

    Ces interventions peuvent prendre 3, 4, 5 heures.

    EXEMPLE CAS PATIENT 1 SUR 4

    Ici, résultat à 18 mois d’une reprise chirurgicale dans les suites, une dizaine d’années auparavant, de 2 interventions dont l’évolution ne convenait pas à ma patiente. Par une voie ouverte, j’ai, de manière engagée, remodelé l’intégralité du nez.

    EXEMPLE CAS PATIENT 2 SUR 4

    Après 3 intervenions à type de rhinoplastie esthétiques, réalisées 6-7 ans auparavant, ma patiente qui se présentait avec une sévère déviation et un profil pas tout à fait à son gout. J’ai réalisé une rhino septo plastie type « Standard », par voie ouverte. Nous sommes à 1 an après l’intervention, le nez est axé, le profil plus conforme à son désir, et les 2 trois-quart se ressemblent bien.

    EXEMPLE CAS PATIENT 3 SUR 4

    Il s’agit ici d’une patiente âgée de 50 ans, aux antécédents de rhinoplasties esthétiques multiples dont le résultat ne lui convenait pas. Il était nécessaire d’apporter une quantité importante de cartilage pour palier à un profil très creusé sur la moitié haute.

    J’ai pu, durant l’intervention, après exploration de la cloison nasale, y prélever le cartilage nécessaire, puis le façonner en nouvelle arête. Je l’avais prévenu, qu’il était possible que je prélève un cartilage sur une cote, je n’en ai pas eu besoin.

    Le résultat est à 12 mois de son intervention.

    EXEMPLE CAS PATIENT 4 SUR 4

    Ma patiente avait été opéré, il y a 8 ans, mais l’évolution  avec une déviation et une asymétrie des trois-quart ne lui convenait pas. J’ai, par voie externe réalisée une rhinoplastie standard de réalignement et travail sur les coupes de profils.

    L’INTERVENTION

    Comment se déroule l’intervention ?

    La rhinoplastie se déroule sous anesthésie générale, au bloc opératoire.
    Afin de modifier la forme et la taille du nez, l’intervention porte d’abord sur les structures tels les os et cartilages. L’arête nasale est régularisée en enlevant la bosse et en râpant les aspérités, la forme de la pointe affinée en diminuant et plicaturant les cartilages des narines.

    Un plâtre positionné au bloc opératoire protègera le bon positionnement de la nouvelle structure pendant une durée de 8 jours. Une cigarette en éponge positionnée dans chaque narine favorise la ré-application de la muqueuse nasale pendant les premières heures.

    Quelle est la durée de l’intervention ?

    La rhinoplastie dure de 1 heure à 3 heures en fonction de la difficulté et de la complexité du projet. Je pratique chaque semaine des rhinoplasties et cela depuis plus de 20 ans.
    Le chirurgien est soumis à de nombreuses règles chirurgicales et fait son possible pour tendre vers un objectif et un résultat adapté au projet convenu.

    Quelle durée d’hospitalisation ?

    La rhinoplastie se déroule en ambulatoire, c’est à dire que vous quitterez la clinique le soir de l’intervention.

    Quels résultats ?

    Le résultat est acquis au bout de 15 jours. Le nez continue à évoluer et acquiert sa stabilité réelle au bout de deux ans.

    Un œdème résiduel se résorbe sur 4 mois. A la fin de la 1ère semaine, la plupart des ecchymoses se sont dissipées.

    À noter :
    La sensibilité cutanée et muqueuse ne se récupère que sur quelques mois, voire un an.

    Quelles cicatrices ?

    Les cicatrices sont situées à l’intérieur des narines, en zone muqueuse. Lors d’un travail précis à réaliser sur la pointe du nez, une discrète cicatrice est effectuée sur la columelle, espace cutané entre les deux narines.

    Lorsqu’il est nécessaire de diminuer la taille et la longueur des narines, une cicatrice se situe sur la partie inférieure du sillon séparant l’aile du nez de la partie haute des lèvres. Cette courte cicatrice a pour avantage d’être au fond d’un pli et de quasiment disparaître.

    La convalescence

    Quel suivi post-opératoire ?

    L’intervention de rhinoplastie est suivie d’une première consultation à 8 jours. Elle permet l’ablation du plâtre et l’ablation des fils lorsque les ailes du nez ont été réduites. Les consultations suivantes ont lieu à 21 jours, puis à 3 et 9 mois.

    Quels soins post-opératoires ?

    Les soins post-opératoires sont essentiellement prodigués par le patient lui-même.

    • les prescriptions
      Un traitement antibiotique est à suivre pour une durée de 3 jours. L’instillation d’huile goménolée dans chaque narine limite la réaction inflammatoire muqueuse, et favorise l’élimination des croûtes résiduelles. En cas de gêne respiratoire résiduelle après la 3ème semaine, un traitement vasoconstricteur local par gouttes est prévu.
    • les pansements
      L’application d’un pansement modelant la nuit pendant une durée de deux mois est parfois recommandée.

    EXEMPLE CAS PATIENT

    La contention

    Le patient sort de la clinique avec un plâtre. Celui-ci doit être nécessairement porté pendant 8 jours afin de maintenir la nouvelle architecture du nez en bonne position.

    Quel délai pour la reprises des activités ?

    L’activité professionnelle

    Le retour à l’activité professionnelle est possible à partir du 3ème jour post-opératoire, mais avec le maintien du port du plâtre de maintien pendant 8 jours.

     

    Les activités sportives

    La reprise de la gymnastique à domicile peut être envisagée à la fin de la première semaine.
    Les activités sportives habituelles peuvent être reprises au bout de 4 semaines. Mais durant le premier mois, une certaine vigilance est de rigueur quant aux activités sportives qui pourraient mener à des traumatismes de la face.

    Les risques

    • l’hématome est exceptionnel pour ce type d’intervention ;
    • les ecchymoses situées sur les paupières inférieures sont quasi systématiques et diminuées par un traitement péri opératoire par Arnica, prescrit avant la rhinoplastie ;
    • les risques d’infections, lors de greffes cartilagineuses ou de mise en place de prothèse de nez, sont rares et couverts par un traitement antibiotique ;
    • la modification de la sensibilité cutanée de la pyramide nasale et de l’odorat se dissipe spontanément, en respectivement quelques semaines à quelques mois voire un an ;
    • quelques douleurs, de type de gêne résiduelle, essentiellement localisées sur les faces internes des genoux et des cuisses, peuvent perdurer pendant 8 à 10 semaines après l’intervention ;
    • le risque d’imperfection du résultat concerne environ un patient sur cinquante, et nécessite une légère retouche chirurgicale, effectuée le plus souvent sous anesthésie locale dans les 9 mois qui suivent la première rhinoplastie. Il peut s’agir d’un petit râpage complémentaire du relief de l’arête nasale, ou même d’une correction sur la pointe.

    La couverture sociale

    Ce n’est que sous 15 jours que le Médecin Conseil statue sur la demande de l’intéressé.
    Une participation par la Sécurité Sociale à la prise en charge de l’intervention chirurgicale est possible dans la mesure où il existe une séquelle de traumatisme entraînant soit une disgrâce importante, soit une gêne respiratoire évidente.

    Dans ces cas particuliers, une entente préalable avec la Sécurité Sociale est rédigée conjointement par le praticien et le patient. Elle est adressée au Médecin Conseil de sa Caisse Primaire d’Assurance Maladie par le patient.

    PRENDRE RDV

    VOUS POUVEZ PRENDRE RENDEZ-VOUS AVEC LE DOCTEUR SARFATI PAR MAIL, TÉLÉPHONE OU SUR DOCTOLIB.